..EN DEVELOPPEMENT

DRAME, FANTASTIQUE    ….Un détenu condamné à la peine capitale vient d’apprendre que la sentence  va être exécutée. Plongé alors dans un état d’extrême angoissee, ne pouvant gérer ses sentiments ni sa raison, ce prisonnier va, dans  une introspection, se mettre sciemment dans des états de dédoublement

               

SYNOPSIS

……Pénitencier de Greensville –Virginie…

Ayant été reconnu  coupable de meurtre et condamné à la chaise électrique,  on va  annoncer un matin à John Sullivan,  l’exécution de la sentence.

Dans le couloir de la mort, le prisonnier, en proie à  la terreur, va commencer à être confronté à   une « conscience » se voulant éthique qui sera  incarnée par son gardien.

Tandis que celui-ci essaiera de le réconcilier avec Dieu, un autre détenu dans la cellule voisine  va  agressivement s’imposer  à lui … Inquiétant et  hargneux, cet individu  peu à peu, se révélera  être l’incarnation de ses «vieux démons »… voire  sa « mauvaise conscience ».

…Quand  apparaîtra soudain, sous l’apparence d’une femme, une personne, qui  à son tour  lui tiendra compagnie. Fantasque et désinvolte,  celle-ci s’avèrera  être, quant à elle…  sa vieille «  bonne conscience ».

Ces consciences demeureront avec lui jusqu’au jour de son exécution.

Ce sera  la  bonne conscience  qui   suggérera alors au condamné, qui fut avant son crime  vague auteur- romancier et poète à ses heures, de prendre  à nouveau sa plume.  C’est elle qui l’incitera à écrire dans un journal toutes ses sensations et surtout sa peur et sa souffrance  face à sa mort programmée.

L’oeuvre intitulée  LE JOURNAL DE JOHN SULLIVAN sera publiée  quelques temps  avant le jour de son exécution.

Elle deviendra  partout un succès en librairie.

Dans des séquences intercalaires, au cours d’une soirée littéraire  chez un Sénateur à Washington, on va lire  des passages du « Journal de John Sullivan », le roman dont on parle  en ce moment dans toute l’ Amérique  .

Notes

 C’est l’idée de la mort  qui  provoquera  chez John Sullivan la complète érosion de son être. Le vide qui va en résulter sera alors  comblé par la présence  de ces  « consciences ».  Tout le long de ce huis-clos, dans une triple confrontation, on va assister à ce détachement qui exaltera le rapport avec la réalité, entre l’homme en proie à ses obsessions, sa terreur, sa souffrance, ses cauchemars et ses remords et puis ces « consciences » qui se doivent être insensibles et sereines dans leurs sentiments et leurs impressions.

Les séquences intercallaires feront ressortir, dans les discussions des salons mondains, la polémique aux USA entre les partisans pour le maintien de la peine de mort et leurs adversaires pour son abolition.

Copyright  USA-

WGA Registration

SACD   France